dimanche 27 février 2011

Comment faire de votre vie un conte de fée ?


Les contes de fée ne sont pas réservés qu'aux enfants.




Vous vous rappelez certainement des contes de fée de votre enfance, des « Il était une fois… », des rois, des princes, des héros, des monstres, des ogres, etc. 
Blanche-Neige et les Sept NainsCendrillon, La Belle au Bois DormantLe Petit Chaperon Rouge ont bercé votre enfance et, continuent même à bercer celles de nos enfants. 
Quand on est enfant, ces contes de fées nous émerveillent, nous font rêver, nous aident à nous endormir. Tout y est beau, merveilleux, les monstres finissent toujours par être terrassés, les méchants perdent toujours, les gentils triomphent à la fin. Bref, tout se finit très bien (« Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ») et, surtout, tout semble possible dans ces contes. 

Avez-vous lu récemment des contes ? 

C’est une question tout à fait sérieuse… 
Vous devriez vous y mettre parce qu’ils peuvent vous faire un bien fou. Des chercheurs et despsychologues, qui ont analysé les contes, en ont conclu qu’ils peuvent servir dans le développement personnel des personnes, peuvent les aider à vivre mieux, à résoudre leurs problèmes existentiels, à aller de l’avant. 

Comment sont-ils parvenus à une telle conclusion ? 

Dans les contes, on n’y voit généralement que de bons sentiments, des messages qui nous semblent anodins, insipides, uniquement destinés aux enfants… C’est normal, ces derniers ne sont pas armés pour comprendre les idées complexes. Justement, comment les contes peuvent-ils avoir un impact sur votre vie, sur votre épanouissement personnel ? 
Pour le savoir, il faut que vous sachiez les décrypter

Dans la majorité des cas, les contes sont intemporels. Ils se déroulent dans un monde imaginaire peuplé de rois, de reines, de princesses, de princes, de fées, de héros, de monstres, d’ogres. Ils racontent l’histoire d’un individu à qui il arrive des choses terribles, voire tragiques. Il est abandonné, il est rejeté, il est enfermé, il est poursuivi par des monstres. Mais, à un moment, il finit par être sauvé par un héros (par un prince, ou un être imaginaire) ou par une fée ou, même, par lui-même. Il parvient à se révolter, à se surpasser et à reprendre le dessus. Il passe différents obstacles (monstres, ogres, par exemple), il subit différentes épreuves, plus ou moins difficiles, qui, au final, le construisent, le font mûrir. Et, étapes après étapes, il finit par triompher et par trouver le bonheur, l’amour et la réussite. 
Voilà, à peu près, ce que vous pouvez trouver dans un conte. 

Mais, au fait, n’est-ce pas précisément la description du déroulement de la vie ? 

Parfois, la vie est difficile, des obstacles se dressent devant vous. Vous subissez votre vie. Vous ne savez plus comment vous en sortir. Mais, un moment, un évènement, une personne ou même un livre vousaident à vous en sortir, à agir : votre héros à vous ? 
Alors, vous retrouvez confiance en vous, vous décidez de vous en sortir. Votre conscience, votre persévérance se réveillent : une petite fée peut-être ? Vous faites tout pour atteindre votre but et vous y parvenez. Et, au final, vous connaissez enfin le bonheur et vous vivez la vie dont vous rêvez. 

A vous de décider de faire de votre vie un « conte de fées » ! 
Décidez que quoi qu’il vous arrive vous finirez par vaincre les obstacles ! 
Décidez de devenir le héros de votre vie et de celle de votre famille !
 


Crédit photo : Clipart © Microsoft Office



mercredi 23 février 2011

Histoire de bonté au quotidien


Une petite histoire d'Orison Swett Marden pleine d'enseignement.


© Brunet Isabelle - Ile Maurice

"J’ai lu l’histoire d’une de ces âmes, celle d’un pauvre homme qui rêva une nuit qu’il était au Paradis, et qui fut si surpris de s’y trouver, qu’il s’en excusa beaucoup. Il disait qu’il n’était pas à sa place, qu’il n’avait rien à faire là, parce qu’il n’avait rien accompli dans sa vie qui ait pu l’amener dans ce lieu, et qu’il était présomptueux de sa part, même de regarder les portes du Paradis. 

Il ajouta, qu’il était incapable de faire quoi que ce soit pouvant lui attirer une semblable faveur, qu’il était un pauvre homme, un ouvrier ne tenant aucun rang dans la société. 

Il avait essayé de vivre honnêtement, disait-il, de faire son travail consciencieusement, d’élever ses enfants aussi bien que possible, mais il n’avait aucun droit à entrer dans le Paradis, et il ne pouvait comprendre comment il avait pu s’y introduire. 

Mais l’ange qui se tenait à la porte lui répondit : “Mon ami, ne vous dépréciez pas vous-même. Ne vous souvenez-vous pas comment vous avez conservé une demeure à une pauvre femme, alors que toutes vos économies y ont passé ? Ni comment vous avez recueilli un pauvre orphelin, quand votre gain vous permettait tout juste d’élever vos propres enfants ? Ni comment vous accueilliez les pauvres, même avant que vous ayez une maison à vous, en sacrifiant continuellement votre confort, pour subvenir aux besoins des autres ? ” 

“Ces actes, et beaucoup d’autres encore, ajouta l’ange, voilà ce qui vous a amené ici ; vous y êtes à votre place.” 

“Mais, protesta le pauvre homme tout confus, je n’ai point fondé de collèges, ni d’hôpitaux ; je n’ai point donné d’argent à des institutions charitables, comme M. Blank, mon patron l’a fait.” 

“Ah ! répliqua l’ange, ce ne sont pas ce que les riches donnent de leur superflu qui accorde l’entrée de ce lieu ; ce sont les petits actes de bonté et d’amour, le service du prochain accompli dans les circonstances ordinaires de la vie ; c’est l’amour qui se donne, l’esprit de dévouement, qui ouvrant les portes du Paradis aux mortels.”





samedi 19 février 2011

Comment relativiser vos soucis ?


Tout le monde connaît des soucis dans la vie, de plus ou moins grande importance.




Moi, aussi, j’en ai connus et j’en connais encore de temps en temps. Mais, à la différence de beaucoup, je crois, j’ai appris à les relativiser et à prendre la vie plus légèrement, comme je l’explique dans mon livre. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est le meilleur moyen que j’ai trouvé pour vivre sereinement et heureuse. 

Je sais, beaucoup auront tendance à dire : « c’est facile à dire, moi, mes problèmes sont énormes et je suis vraiment le plus malheureux du monde ». 

C’est possible, il existe des gens qui vivent de véritables calvaires tous les jours. 
Mais, bien souvent, en y regardant de plus prêt, en examinant de manière objective votre situation, croyez-vous que vos soucis, vos problèmes, vos malheurs soient si importants que cela, soient insurmontables… ? Réfléchissez-y un instant à tête reposée, prenez du recul et je suis certaine que vous allez vous rendre vite compte que, finalement, tout ne va pas mal dans votre vie et surtout que vous avez la possibilité de changer les choses au lieu de continuer à vous lamenter dans votre coin. 

Vous n’êtes pas convaincu ? 

Pour vous aider à relativiser plus facilement vos petits soucis du quotidien, je vais vous relater en quelques mots la vie que vivent mon oncle et ma tante : 
Il ya près de 2 ans, mon oncle a eu une tumeur au cerveau, il a été opérée, mais elle est revenue. Il a été réopéré mais la boule est toujours là et en plus, les médecins ont découvert qu’il avait une tumeur au poumon inopérable. Là, il attend de voir ce que les médecins vont faire de lui. 
Récemment, sa femme, donc ma tante, a appris qu’elle avait 3 tumeurs à la gorge, avec une partie de la langue atteinte. Elle va prochainement être opérée avec des conséquences terribles : elle ne pourra plus parler ni manger pendant des mois ! 

Voilà ce que j’appelle des gens malheureux et qui vivent un véritable calvaire ! 

Alors, avant de vous lamenter sur votre sort pour des broutilles, réfléchissez et essayez de relativiser !


Crédit photo : Clipart © Microsoft Office


mercredi 16 février 2011

Si vous voulez avoir le moral, mangez bien !


La nourriture peut vous combler.




Vous avez certainement déjà remarqué que ce que vous mangez influe fortement sur votre moral. 
Certains aliments vous procurent de la joie, du plaisir : en les mangeant, vous vous sentez tout de suite mieux. Là, tout dépend des individus. Je suis certaine que vous savez parfaitement de quoi je parle. Que ce soit le chocolat, les bonbons, les gâteaux, le fromage, les chips… ils vous mettent de bonne humeur quand vous les mangez. Moi, personnellement, manger du bon chocolat noir ou un très bon roquefort, cela me suffit pour que je sois heureuse. Rassurez-vous, il n’y a pas que cela qui me rend heureuse. Mais, cela fait parti des petits plaisirs de la vie qui permettent de rendre une journée moins morose. 

D’autres aliments peuvent, au contraire, vous dégoûter, vous rendre aigri. Moi, je suis particulièrement sujette à ce genre de réactions. Si je sais que je vais manger quelque chose qui ne me plaît pas, si je n’ai pas grand-chose à manger, je suis plutôt de mauvaise humeur. Je sais, c’est bête de se mettre dans des états pareils pour si peu. Mais, j’attache tellement d’importance à la nourriture que je ne me sens pas bien quand elle n’est pas à mon goût. 

Enfin, dans les périodes de restrictions, de régime si vous préférez, le fait de devoir se priver de nourriture peut engendrer une baisse de moral. Cela arrive très souvent. Encore une fois, je sais parfaitement de quoi je parle. J’ai connu ces périodes de vache-maigre et je dois dire que cela ne me réussissait pas. J’étais irritable, énervée. Tous ceux qui m’approchaient devaient se tenir à carreau car ils en prenaient plein la figure. 

Comme vous pouvez le constater, j’ai employé le passé dans ce dernier paragraphe. Ce type de désagréments ne m’arrive plus ! J'ai appris à manger bon et équilibré. J'ai trouvé des tas de trucs et astuces, des tas d'aliments qui me permettent de garder la forme et la ligne. Mon moral est donc au beau fixe, d’autant plus que les effets se voient sur mon corps ! 

Alors, si vous voulez vous sentir bien dans votre corps et dans votre tête, pensez à bien vous nourrir. Le lien entre nourriture et moral a fait l’objet d’études scientifiques très sérieuses. Il a été prouvé que certains aliments comme le chocolat, le sucre, le café, etc. pouvaient vous redonner le moral. Mais, attention de ne pas trop en manger. Cela risquerait de vous miner le moral avec les kilos, le diabète ou le cholestérol que vous attraperez. 

Je suis tellement une folle de cuisine que j'ai mis en ligne, il y a quelques jours, un blog de cuisine Les Gourmandes Astucieuses 

Pour le moment, il n'y a pas grand chose, mais je l'alimente tous les jours ! 



lundi 14 février 2011

Ca fait du bien de rire !


Ce week-end, j’ai assisté à 3 spectacles d’humour. Eh bien, cela m’a fait du bien.


Et, je pense que pour les gens qui étaient là aussi, c’était la même chose. Dans la salle, on entendait les rires fuser, à la sortie, les gens avaient tous le sourire… bref, tout le monde était de bonne humeur.

Pour ma part, je ne pourrai pas vraiment dire que cela m’ait remontée le moral, parce que mon moral n’était pas en berne. Mais, on ressort de là euphorique et plein d’entrain. Pour les personnes qui sont au bout du rouleau, qui ont le moral dans les chaussettes, je leur conseille vivement une petite séance de rires

Les thérapeutes l’ont parfaitement compris. Depuis déjà pas mal de temps, des écoles du rire ou de la rigologie s’organisent un peu partout. Ces séances semblent être efficaces. Quand on écoute les gens qui y participent, ils en tirent un bilan très positif. 

Je suppose que vous-même, vous avez remarqué qu’un rire ou même un fou rire redonne immédiatement la pêche. 

Alors qu’attendez-vous pour pratiquer le rire au quotidien ? 

Personnellement, j’essaie de le pratiquer le plus régulièrement possible. J’ai, semble-t-il, beaucoup d’humour. Certaines personnes de mon entourage me reprochent parfois même mon manque de sérieux. Ce n’est pas que je tourne tout à la rigolade mais quand cela devient trop grave, je ne peux pas m’empêcher de faire le clown. C’est certainement ce trait de caractère qui m’aide fortement àdédramatiser les situations difficiles. Comme on dit souvent : « Il vaut mieux en rire qu’en pleurer » ! 

Si vous prenez tout trop au sérieux, si vous ne riez pas beaucoup, si vous n’avez personne avec qui rire, sortez de chez vous pour rencontrer des personnes avec qui vous pourriez rire (une association, par exemple), allez voir un spectacle ou un film, écoutez une émission de radio, lisez un livre amusant… 

Peu importe ce que vous faites, l’essentiel c’est d’essayer de rire le plus souvent possible ! Ainsi, vous verrez la vie en rose ! 


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jeudi 10 février 2011

N'allez pas jusqu'au suicide...


Que faut-il penser de la recrudescence des suicides ?




Depuis déjà pas mal de temps, il semble que l'on assiste à une recrudescence des suicides en France. Les infos relatent presque tous les jours l'histoire de personnes qui se suicident. On retrouve de tout : des femmes, des hommes, des adolescents, des pères, des mères...

Les raisons qui les poussent semblent être assez diverses : problèmes professionnels, scolaires, familiaux, isolement, etc. J'emploie volontairement le verbe "sembler" parce qu'il est souvent assez difficile de connaître pour tous les raisons profondes du passage à l'acte. 

Généralement, c'est une accumulation de plusieurs facteurs qui entre en jeu. Cette dernière aboutie à un mal-être si profond que les personnes qui le subissent ne voient pas d'autres moyens que de se donner la mort pour y échapper. Elles ont atteint un point de non retour et ne parviennent plus à avancer. 

Comment peut-on agir pour éviter que des gens se donnent la mort volontairement ? 

La seule solution qui semble la plus efficace est d'agir en amont, en prévention. Il faut parler et dialoguer. 

Parents ou amis ou éducateurs, ouvrez l'oeil et voyez si dans votre entourage, il n'y a pas quelqu'un qui se sent mal, qui se renferme ou s'isole de plus en plus, qui semble déconnecté du monde réel... Je sais que ce n'est pas facile. C'est parfois loin d'être évident de repérer les personnes qui ne vont pas bien et qui sont prêtes à passer à l'acte. Mais, essayez et surtout ne rompez jamais le dialogue. 

Quant à ceux qui veulent en finir avec la vie, n'attendez pas qu'il soit trop tard pour réagir. Si vous ressentez un mal-être, une petite déprime, ne laissez pas traîner les choses. Parlez-en à quelqu'un. Vous verrez que vous parviendrez à trouver des solutions à vos problèmes. L'essentiel est d'agir le plus rapidement possible. Si vous laissez pourrir la situation, vous aurez de plus en plus de mal à vous en sortir. 

Le suicide ne doit pas devenir une fatalité et surtout la seule solution pour régler ses problèmes ! 
Tout le monde a le droit au bonheur et il existe des tas de solutions pour améliorer sa vie, comme vous pouvez le voir dans mon livre "Vous avez tout pour être heureux. Le livre pour améliorer votre vie", éd. Maxima. 


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lundi 7 février 2011

Comment briser la solitude ?


Le silence est d’or… paraît-il




C’est vrai, le silence est un trésor pour ceux qui veulent méditer, réfléchir à des choses importantes. Dans nos vies trépidantes, hyper-actives, la quête du silence est primordiale pour destresser, retrouver la paix intérieure. 
Mais, le silence est-il un bienfait pour tout le monde ?

Pensez aux personnes qui vivent seules, isolées et qui sont obligées d’allumer la radio, la télévision pour qu’il y ait un semblant de présence chez elles. 
Pensez aux personnes qui, submergées par les problèmes, font tout pour éviter de se retrouver dans le silence le plus complet, afin de ne pas trop penser. 

Pour elles, le silence est plutôt un fléau. Elles font tout pour lui échapper. Parfois, c’est difficile de se retrouver seul avec soi-même. Cela peut faire peur. 
Certaines personnes, victimes de ce mal, trouvent des remèdes : elles sortent, se font des amis, s’occupent d’associations… 
Pour d’autres, c’est plus compliqué parce qu’elles sont timides, elles sont isolées, elles n’osent pas aller vers les autres, etc. Elles finissent par se morfondre dans leur coin. Et là, elles ont tout le loisir de penser, de cogiter sur leur passé par exemple. Elles se remémorent leurs souvenirs. S’ils sont bons, c’est plutôt un avantage. Mais s’ils sont mauvais, la souffrance devient intenable. 

Dans ce cas-là, que faut-il faire ? 
Un travail sur soi est primordial. Il faut apprendre à penser positif, à se dire que la vie n’est pas si moche en fin de compte, que le bonheur n’est pas seulement pour les autres. Ce nouvel état d’esprit vous aidera à vous ouvrir aux autres, au monde. 
Il faut vous prendre en main et surtout éviter de vous laisser aller. Pensez aux personnes qui aimeraient de tout leur cœur pouvoir bouger, sortir mais qui sont dans l’incapacité physique de le faire. Profitez de votre bonne santé pour aller les voir. Vous effectuerez une double bonne action : vous briserez votre isolement mais également le leur. Exercer de multiples activités, rencontrer du monde, cela fait revivre ! 

Et vous verrez, vous finirez par apprécier les moments de silence qui seront une pause salutaire dans votre nouvelle vie trépidante ! 

Pour apprendre à sortir de votre solitude, à aller de l'avant et à reprendre votre vie en main, suivez les conseils de mon livre "Vous avez tout pour être heureux. Le livre pour améliorer votre vie", éd. Maxima.


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jeudi 3 février 2011

L’excès d’amour nuit, paraît-il ?


Je viens d’entendre, sur RTL, l’histoire de la petite Cindy, 5 ans. Placée dans une famille d’accueil depuis l’âge de 2 mois, elle vient de lui être retirée par le conseil régional prétextant que « les liens affectifs sont trop forts ».


Donc, dans l’intérêt de l’enfant, il a été jugé qu’il était préférable de l’enlever à cette famille pour la mettre dans une autre. Ses « parents » d’accueil n’ont pas eu le temps de lui dire au revoir et elle est partie sans ses affaires…

Ce n’est pas la première fois que cela arrive, malheureusement. Ces enfants qui ont déjà mal commencé leur vie, connaissent encore la galère, sous prétexte que les gens qui les accueillent les choient trop, les dorlotent trop, les câlinent trop… bref, les aiment trop ! 

Alors, si on suit bien le raisonnement, il est donc souhaitable que les enfants placés dans des familles d’accueil soient traités « comme des chiens », maltraités, considérés comme un simple numéro ou objet que l’on trimbale d’un point à un autre, au bon vouloir de l’administration. 

Je sais parfaitement qu’il existe un petit nombre de familles d’accueil « modèles » qui recueillent des enfants uniquement pour l’argent. Ces dernières s’occupent plus ou moins bien des enfants, ne les cajolent pas, les excluent de leur propre cercle familial, leur font bien comprendre qu’ils sont là seulement pour quelques temps et qu’ils vont repartir très bientôt ailleurs, les humilient ou les violentent parfois… Mais, hélas, pour l’administration, ce n’est pas la majorité des cas. 

Qu’adviendra-t-il de ces enfants qui, dès le départ, n’ont pas connu l’amour ? 
Comme on sait que l’adulte se construit dans l’enfance, vous imaginez parfaitement quel est l’avenir de ces enfants que l’on déplace, que l’on transporte comme de la marchandise et à qui on ne veut surtout pas que l’on se lie affectivement ! 

L’amour est la plus belle chose qui puisse arriver à un enfant. Cet amour lui donne confiance en lui, à partir du moment où ses parents ou ceux qui l’élèvent sont fiers de lui et lui montrent le chemin à suivre. A partir du moment où il le connaît, il peut s’épanouir et grandir pour devenir un adulte, lui-même, épanoui et heureux. 

Mal-aimé, un enfant se sent exclu, dévalorisé, profondément seul. Il se replie sur lui-même et n’osera jamais affronter le monde qui l’entoure. Il pensera, constamment, que c’est un bon à rien parce que personne ne lui a dit que ce qu’il faisait été bien. Dès le départ, il a eu l’étiquette d’un enfant sans parents, abandonné. Dès le départ, il n’est donc pas considéré comme un enfant à part entière qui a besoin d’amour pour grandir, comme tous les autres enfants. 

La famille d’accueil de Cindy a décidé de se battre pour la récupérer, d’où leur appel aux médias, tout simplement parce qu’ils tiennent à elle et parce qu’ils l’aiment, des sentiments humains mais apparemment vraiment honteux, voire scandaleux, pour l’administration… 


Crédit photo : Clipart © Microsoft Office

mardi 1 février 2011

Quelques principes de vie...


Les neufs principes de vie de Miyamoto Musachi, le plus grand des Samouraïs.




1) Evite toute pensée malhonnête 

2) La Voie juste est dans la pratique juste 

3) Embrasse tous les arts 

4) Etudie la Voie du point de vue de chaque métier 

5) Sache distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose 

6) Développe en tout une compréhension et un jugement intuitifs 

7) Perçois les choses que tu ne peux voir 

8) Soit attentif à tout, même aux détails sans importance 

9) Ne fais rien qui ne soit utile 


Mes ouvrages

- "Faites face aux échecs grâce à la PNL", Katisa Editions 2008, en téléchargement gratuit sur http://www.katisa-editions.com/

- "Soyez Payé Pour Consommer Et Vous Amuser", Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/2beb08

- "Les Seuls Vrais Moyens De Vous constituer Un Réseau De Relations Efficace", Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/377c54

- "Mes Astuces Pour Combattre Le Mal-Etre" Katisa Editions 2008, http://url-ok.com/872aa4

- "Tout savoir sur les Chakras", Katisa Editions 2007, en téléchargement gratuit sur http://www.katisa-editions.com/

- « Votre Caractère Décide De Votre Réussite », Katisa Editions 2007, http://www.lulu.com/content/1671692

- « Battez-Vous Contre Vos Peurs », Katisa Editions 2007, http://www.lulu.com/content/1671728


En collaboration avec Isabelle Brunet, (en téléchargement gratuit sur le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com/ )

- « Le Temps, Votre Allié Pour La Vie », 2008
- « Maîtrisez l'Art d'Engager La Conversation », 2007
- « Coachez Astucieusement Votre Enfant Durant Sa Scolarité », 2007
- « Guide d'Initiation à La Santé Au Naturel vol.1 », 2007
- « Guide d'Initiation à La Santé Au Naturel vol.2 », 2007